Questions Premier secours

 Depuis le 1er janvier 2018,
les examinateurs posent une question en rapport avec les notions élémentaires de premiers secours aux candidats

TOUT SAVOIR SUR L’EXAMEN DU PERMIS DE CONDUIRE

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Questions de vérifications premières secours 2018/2019 à l’examen du permis de conduire

Entrée en vigueur pour l’examen pratique du permis de conduire à partir du 1er janvier 2018.
Questions portant sur les notions élémentaires de premiers secours.
La question est tirée au sort en fonction du totaliseur kilométrique de votre véhicule.

Liste des Questions

  1. Comment et pourquoi protéger une zone de danger en cas d’accident de la route ?
    En délimitant clairement et largement la zone de danger de façon visible pour protéger les victimes et éviter un suraccident.
  2. Quels comportements adopter en cas de diffusion du signal d’alerte du Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) ?
    – Se mettre en sécurité.
    – S’informer grâce aux médias et sites internet des autorités dès que leur consultation est possible.
    – Respecter les consignes des autorités.
  3. Comment est composé le signal d’alerte du Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) diffusé par les sirènes ?
    Il se compose de deux codes distincts :
    – Le Signal National d’Alerte (SNA), variation du signal sur trois cycles successifs.
    – Le signal de fin d’alerte, signal continu.
  4. Sur autoroute, comment indiquer avec précision les lieux de l’accident depuis un téléphone portable ?
    En indiquant le numéro de l’autoroute, le sens de circulation et le point kilométrique.
  5. Comment vérifier la respiration d’une victime ?
    Regarder si le ventre et la poitrine se soulèvent et sentir de l’air à l’expiration.
  6. Qu’est-ce qu’une perte de connaissance ?
    C’est lorsque la victime ne répond pas et ne réagit pas mais respire.
  7. Si un dégagement d’urgence de la victime est nécessaire, où doit-elle être déplacée ?
    Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ses conséquences.
  8. En cas de panne ou d’accident, quel équipement de sécurité doit être porté avant de quitter le véhicule ?
    Il faut porter le gilet de haute visibilité avant de sortir du véhicule. Le terme "gilet jaune" peut être utilisé par le candidat.
  9. Pourquoi l’alerte auprès des services de secours doit-elle être rapide et précise ?
    Pour permettre aux services de secours d’apporter les moyens adaptés aux victimes dans le délai le plus court.
  10. Quels sont les numéros d’urgence à composer ?
    – Le 18, numéro d’appel des sapeurs-pompiers.
    – Le 15, numéro d’appel des SAMU.
    – Le 112, numéro de téléphone réservé aux appels d’urgence et valide dans l’ensemble de l’Union Européenne.
  11. Quels comportements adopter en présence d’une victime qui ne répond pas et ne réagit pas, mais respire ?
    La placer en position stable sur le côté ou position latérale de sécurité.
    – Alerter les secours.
    – Surveiller la respiration de la victime jusqu’à l’arrivée des secours.
  12. Comment arrêter une hémorragie ?
    En appuyant fortement sur l’endroit qui saigne avec les doigts ou avec la paume de la main en mettant un tissu propre sur la plaie.
  13. Hors autoroute ou endroit dangereux, en cas de panne ou d’accident, où doit être placé le triangle de présignalisation ?
    Le triangle de présignalisation doit être placé à une distance d’environ 30m de la panne ou de l’accident, ou avant un virage, ou un sommet de côte.
  14. Quelles sont les conditions pour réaliser le dégagement d’urgence d’une victime en présence d’un danger réel, immédiat et non contrôlable ?
    La victime doit être visible, facile à atteindre et rien ne doit gêner son dégagement. Il faut être sûr(e) de pouvoir réaliser le dégagement de la victime.
  15. Quelles sont les trois informations à transmettre aux services de secours ?
    Le numéro de téléphone à partir duquel l’appel est émis, la nature et la localisation la plus précise du problème.
  16. Par quels moyens doit être réalisée l’alerte des secours ?
    L’alerte doit être donnée à l’aide d’un téléphone portable ou, à défaut, d’un téléphone fixe ou d’une borne d’appel d’urgence.
  17. Quel comportement doit-on adopter en présence d’une victime en arrêt cardiaque ?
    – ALERTER : alerter immédiatement les secours.
    – MASSER : pratiquer une réanimation cardiopulmonaire.
    – DEFIBRILLER : utiliser un défibrillateur automatique (DAE) si possible.
  18. Dans quel cas peut-on positionner une victime en Position Latérale de Sécurité (PLS) ?
    Si la victime ne répond pas, ne réagit pas et respire.
  19. Dans quelle situation peut-on déplacer une victime ?
    En présence d’un danger réel, immédiat, non contrôlable. Le déplacement de la victime doit rester exceptionnel.
  20. En cas de panne ou d’accident, quel équipement de sécurité doit être porté avant de quitter le véhicule ?
    Il faut porter le gilet de haute visibilité avant de sortir du véhicule. Le terme "gilet jaune" peut être utilisé par le candidat.
  21. Quel est l’objectif du Signal d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) ?
    Avertir la population d’un danger imminent ou qu’un événement grave est en train de se produire.
  22. Comment est diffusée l’alerte émise par le Signal d’Alerte et d’Information aux Populations (SAIP) ?
    Grâce aux sirènes, aux médias tels que Radio France et France Télévision ou encore grâce à l’application SAIP.
  23. À partir de quel âge peut-on suivre une formation aux premiers secours ?
    À partir de 10 ans.
  24. Pourquoi faut-il pratiquer immédiatement une réanimation cardiopulmonaire sur une victime en arrêt cardiaque ?
    Car les lésions du cerveau, surviennent dès les premières minutes.
  25. Hors autoroute ou endroit dangereux, en cas de panne ou d’accident, où doit être placé le triangle de présignalisation ?
    Le triangle de présignalisation doit être placé à une distance d’environ 30m de la panne ou de l’accident, ou avant un virage, ou un sommet de côte.
  26. 26) Dans quelle situation peut-on déplacer une victime ?
    En présence d’un danger réel, immédiat, non contrôlable. Le déplacement de la victime doit rester exceptionnel.
  27. Lors d’un appel avec les services de secours, pourquoi devez-vous attendre que votre correspondant vous autorise à raccrocher ?
    Car il peut nous conseiller ou nous guider dans la réalisation des gestes à faire, ou ne pas faire, jusqu’à l’arrivée des secours.
  28. À quel moment pouvez-vous mettre fin à un appel avec les secours ?
    Uniquement lorsque notre correspondant nous invite à le faire.
  29. Citez les trois manières d’évaluer l’état de conscience d’une victime.
    – Lui poser des questions simples (« comment ça va ? », « vous m’entendez ? »).
    – Lui secouer doucement les épaules.
    – Lui prendre la main en lui demandant d’exécuter un geste simple (« serrez-moi la main »).
  30. Quels sont les risques pour une personne en perte de connaissance qui est allongée sur le dos ?
    L’arrêt respiratoire et l’arrêt cardiaque.
  31. Quels comportements adopter en cas de diffusion du signal d’alerte du Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) ?
    – Se mettre en sécurité.
    – S’informer grâce aux médias et sites internet des autorités dès que leur consultation est possible.
    – Respecter les consignes des autorités.
  32. Si un dégagement d’urgence de la victime est nécessaire, où doit-elle être déplacée ?
    Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ses conséquences.
  33. Sur autoroute, comment indiquer avec précision les lieux de l’accident depuis un téléphone portable ?
    En indiquant le numéro de l’autoroute, le sens de circulation et le point kilométrique.
  34. Pourquoi l’alerte auprès des services de secours doit-elle être rapide et précise ?
    Pour permettre aux services de secours d’apporter les moyens adaptés aux victimes dans le délai le plus court.
  35. Pourquoi ne faut-il pas laisser une personne en perte de connaissance allongée sur le dos ?
    Car elle risque un étouffement par :
    – Des liquides présents dans la gorge.
    – La chute de la langue en arrière.
  36. L’utilisation d’un Défibrillateur Automatisé (DAE) sur une victime qui n’est pas en arrêt cardiaque présente-t-elle un risque ?
    Non, car le défibrillateur se déclenche uniquement quand la victime est en arrêt cardiaque.
  37. Quelles sont les conditions pour réaliser le dégagement d’urgence d’une victime en présence d’un danger réel, immédiat et non contrôlable ?
    La victime doit être visible, facile à atteindre et rien ne doit gêner son dégagement. Il faut être sûr(e) de pouvoir réaliser le dégagement de la victime.
  38. Comment et pourquoi protéger une zone de danger en cas d’accident de la route ?
    En délimitant clairement et largement la zone de danger de façon visible pour protéger les victimes et éviter un suraccident.
  39. Comment est composé le signal d’alerte du Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) diffusé par les sirènes ?
    Il se compose de deux codes distincts :
    – Le Signal National d’Alerte (SNA), variation du signal sur trois cycles successifs.
    – Le signal de fin d’alerte, signal continu.
  40. Quelles sont les trois informations à transmettre aux services de secours ?
    Le numéro de téléphone à partir duquel l’appel est émis, la nature et la localisation la plus précise du problème.
  41. Qu’est-ce qu’une hémorragie ?
    C’est une perte de sang prolongée qui ne s’arrête pas. Elle imbibe de sang un mouchoir en quelques secondes.
  42. Quels sont les risques pour une personne victime d’une hémorragie ?
    Entraîner pour la victime une détresse circulatoire ou un arrêt cardiaque.
  43. Quels sont les signes d’un arrêt cardiaque ?
    La victime ne répond pas, ne réagit pas et ne respire pas ou présente une respiration anormale.
  44. Qu’est-ce qu’un défibrillateur automatisé externe (DAE) ?
    C’est un appareil qui peut permettre de rétablir une activité cardiaque normale à une victime en arrêt cardiaque.
  45. Par quels moyens doit être réalisée l’alerte des secours ?
    L’alerte doit être donnée à l’aide d’un téléphone portable ou, à défaut, d’un téléphone fixe, ou d’une borne d’appel d’urgence.
  46. Lors d’un appel avec les services de secours, pourquoi devez-vous attendre que votre correspondant vous autorise à raccrocher ?
    Car il peut nous conseiller ou nous guider dans la réalisation des gestes à faire, ou ne pas faire, jusqu’à l’arrivée des secours.
  47. Qu’est-ce qu’un arrêt cardiaque ?
    Le cœur ne fonctionne plus ou fonctionne d’une façon anarchique.
  48. Quel est le risque principal d’un arrêt cardiaque sans intervention des secours ?
    La mort de la victime qui survient en quelques minutes.
  49. Quels sont les risques pour une personne en perte de connaissance qui est allongée sur le dos ?
    L’arrêt respiratoire et l’arrêt cardiaque.
  50. Pourquoi faut-il pratiquer immédiatement une réanimation cardiopulmonaire sur une victime en arrêt cardiaque ?
    Car les lésions du cerveau surviennent dès les premières minutes.
  51. Quel est l’objectif du Signal d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) ?
    Avertir la population d’un danger imminent ou qu’un événement grave est en train de se produire.
  52. À quel moment pouvez-vous mettre fin à un appel avec les secours ?
    Uniquement lorsque notre correspondant nous invite à le faire.
  53. Quel est le risque principal d’un arrêt cardiaque sans intervention des secours ?
    La mort de la victime qui survient en quelques minutes.
  54. Quel comportement doit-on adopter en présence d’une victime en arrêt cardiaque ?
    – ALERTER : alerter immédiatement les secours.
    – MASSER : pratiquer une réanimation cardiopulmonaire.
    – DEFIBRILLER : utiliser un défibrillateur automatique (DAE) si possible.
  55. Comment arrêter une hémorragie ?
    En appuyant fortement sur l’endroit qui saigne avec les doigts ou avec la paume de la main en mettant un tissu propre sur la plaie.
  56. Citez les trois manières d’évaluer l’état de conscience d’une victime ?
    – Lui poser des questions simples (« comment ça va ? », « vous m’entendez ? »).
    – Lui secouer doucement les épaules.
    – Lui prendre la main en lui demandant d’exécuter un geste simple (« serrez-moi la main »).
  57. Quels sont les numéros d’urgence à appeler ?
    – Le 18, numéro d’appel des sapeurs-pompiers.
    – Le 15, numéro d’appel des SAMU.
    – Le 112, numéro de téléphone réservé aux appels d’urgence et valide dans l’ensemble de l’Union Européenne.
  58. Comment est diffusée l’alerte émise par le Signal d’Alerte et d’Information aux Populations (SAIP) ?
    Grâce aux sirènes, aux médias tels que Radio France et France Télévision ou encore grâce à l’application SAIP.
  59. Quels comportements adopter en présence d’une victime qui ne répond pas et ne réagit pas, mais respire ?
    La placer en position stable sur le côté ou position latérale de sécurité.
    – Alerter les secours.
    – Surveiller la respiration de la victime jusqu’à l’arrivée des secours.
  60. L’utilisation d’un Défibrillateur Automatisé (DAE) sur une victime qui n’est pas en arrêt cardiaque présente-t-elle un risque ?
    Non car le défibrillateur se déclenche uniquement quand la victime est en arrêt cardiaque.
  61. L’utilisation d’un Défibrillateur Automatisé (DAE) sur une victime qui n’est pas en arrêt cardiaque présente-t-elle un risque ?
    Non car le défibrillateur se déclenche uniquement quand la victime est en arrêt cardiaque.
  62. Comment vérifier la respiration d’une victime ?
    Regarder si le ventre et la poitrine se soulèvent et sentir de l’air à l’expiration.
  63. Qu’est-ce qu’un arrêt cardiaque ?
    Le cœur ne fonctionne plus ou fonctionne d’une façon anarchique.
  64. Quels sont les risques pour une personne victime d’une hémorragie ?
    Entraîner pour la victime une détresse circulatoire ou un arrêt cardiaque.
  65. Comment et pourquoi protéger une zone de danger en cas d’accident de la route ?
    En délimitant clairement et largement la zone de danger de façon visible pour protéger les victimes et éviter un suraccident.
  66. Qu’est-ce qu’un défibrillateur automatisé externe (DAE) ?
    C’est un appareil qui peut permettre de rétablir une activité cardiaque normale à une victime en arrêt cardiaque.
  67. Comment est composé le signal d’alerte du Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) diffusé par les sirènes ?
    Il se compose de deux codes distincts :
    – Le Signal National d’Alerte (SNA), variation du signal sur trois cycles successifs.
    – Le signal de fin d’alerte, signal continu.
  68. Sur autoroute, comment indiquer avec précision les lieux de l’accident depuis un téléphone portable ?
    En indiquant le numéro de l’autoroute, le sens de circulation et le point kilométrique.
  69. Comment vérifier la respiration d’une victime ?
    Regarder si le ventre et la poitrine se soulèvent et sentir de l’air à l’expiration.
  70. En cas de panne ou d’accident, quel équipement de sécurité doit être porté avant de quitter le véhicule ?
    Il faut porter le gilet de haute visibilité avant de sortir du véhicule. Le terme "gilet jaune" peut être utilisé par le candidat.
  71. Si un dégagement d’urgence de la victime est nécessaire, où doit-elle être déplacée ?
    Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ses conséquences.
  72. Comment arrêter une hémorragie ?
    En appuyant fortement sur l’endroit qui saigne avec les doigts ou avec la paume de la main en mettant un tissu propre sur la plaie.
  73. Hors autoroute ou endroit dangereux, en cas de panne ou d’accident, où doit être placé le triangle de présignalisation ?
    Le triangle de présignalisation doit être placé à une distance d’environ 30m de la panne ou de l’accident, ou avant un virage, ou un sommet de côte.
  74. Quelles sont les précautions à prendre pour réaliser le dégagement d’urgence d’une victime en présence d’un danger réel, immédiat et non contrôlable ?
    La victime doit être visible, facile à atteindre et rien ne doit gêner son dégagement. Il faut être sûr(e) de pouvoir réaliser le dégagement de la victime.
  75. Quelles sont les trois informations à transmettre aux services de secours ?
    Le numéro de téléphone à partir duquel l’appel est émis, la nature et la localisation la plus précise du problème.
  76. Dans quel cas peut-on positionner une victime en Position Latérale de Sécurité (PLS) ?
    Si la victime ne répond pas, ne réagit pas et respire.
  77. Quel comportement doit-on adopter en présence d’une victime en arrêt cardiaque ?
    – ALERTER : alerter immédiatement les secours.
    – MASSER : pratiquer une réanimation cardiopulmonaire.
    – DEFIBRILLER : utiliser un défibrillateur automatique (DAE) si possible.
  78. En cas de panne ou d’accident, quel équipement de sécurité doit être porté avant de quitter le véhicule ?
    Il faut porter le gilet de haute visibilité avant de sortir du véhicule. Le terme "gilet jaune" peut être utilisé par le candidat.
  79. Quel est l’objectif du Signal d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) ?
    Avertir la population d’un danger imminent ou qu’un événement grave est en train de se produire.
  80. Comment est diffusée l’alerte émise par Le Signal d’Alerte et d’Information aux Populations (SAIP) ?
    Grâce aux sirènes, aux médias tels que Radio France et France Télévision ou encore grâce à l’application SAIP.
  81. En général, en cas de panne ou d’accident, où doit être placé le triangle de présignalisation ?
    Le triangle de présignalisation doit être placé à une distance d’environ 30m de la panne ou de l’accident, ou avant un virage ou un sommet de côte.
  82. Dans quelle situation peut-on déplacer une victime ?
    En présence d’un danger réel, immédiat, non contrôlable. Ce déplacement doit rester exceptionnel.
  83. Lors d’un appel avec les services de secours, pourquoi devez-vous attendre que votre correspondant vous autorise à raccrocher ?
    Car il peut nous conseiller ou nous guider dans la réalisation des gestes à faire, ou ne pas faire, jusqu’à l’arrivée des secours.
  84. Si un dégagement d’urgence de la victime est nécessaire, où doit-elle être déplacée ?
    Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ses conséquences.
  85. Quels comportements adopter en cas de diffusion du signal d’alerte du Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) ?
    – Se mettre en sécurité.
    – S’informer grâce aux médias et sites internet des autorités dès que leur consultation est possible.
    – Respecter les consignes des autorités.
  86. Comment et pourquoi protéger une zone de danger en cas d’accident de la route ?
    En délimitant clairement et largement la zone de danger de façon visible pour protéger les victimes et éviter un suraccident.
  87. Quelles sont les conditions pour réaliser le dégagement d’urgence d’une victime en présence d’un danger réel, immédiat et non contrôlable ?
    La victime doit être visible, facile à atteindre et rien ne doit gêner son dégagement. Il faut être sûr(e) de pouvoir réaliser le dégagement de la victime.
  88. Quels sont les risques pour une personne victime d’une hémorragie ?
    Entraîner pour la victime une détresse circulatoire ou un arrêt cardiaque.
  89. Comment est composé le signal d’alerte du Système d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) diffusé par les sirènes ?
    Il se compose de deux codes distincts :
    – Le Signal National d’Alerte (SNA), variation du signal sur trois cycles successifs.
    – Le signal de fin d’alerte, signal continu.
  90. Lors d’un appel avec les services de secours, pourquoi devez-vous attendre que votre correspondant vous autorise à raccrocher ?
    Car il peut nous conseiller ou nous guider dans la réalisation des gestes à faire, ou ne pas faire, jusqu’à l’arrivée des secours.
  91. Quels sont les signes d’un arrêt cardiaque ?
    La victime ne répond pas, ne réagit pas et ne respire pas, ou présente une respiration anormale.
  92. À quel moment pouvez-vous mettre fin à un appel avec les secours ?
    Uniquement lorsque notre correspondant nous invite à le faire.
  93. Quels sont les risques pour une personne en perte de connaissance qui est allongée sur le dos ?
    L’arrêt respiratoire et l’arrêt cardiaque.
  94. Quel comportement doit-on adopter en présence d’une victime en arrêt cardiaque ?
    – ALERTER : alerter immédiatement les secours.
    – MASSER : pratiquer une réanimation cardiopulmonaire.
    – DEFIBRILLER : utiliser un défibrillateur automatique (DAE) si possible.
  95. Quel est l’objectif du Signal d’Alerte et d’Information des Populations (SAIP) ?
    Avertir la population d’un danger imminent ou qu’un événement grave est en train de se produire.
  96. Citez les trois manières d’évaluer l’état de conscience d’une victime ?
    – Lui poser des questions simples (« comment ça va ? », « vous m’entendez ? »).
    – Lui secouer doucement les épaules.
    – Lui prendre la main en lui demandant d’exécuter un geste simple (« serrez-moi la main »).
  97. Quels comportements adopter en présence d’une victime qui ne répond pas et ne réagit pas, mais respire ?
    – La placer en position stable sur le côté ou position latérale de sécurité.
    – Alerter les secours.
    – Surveiller la respiration de la victime jusqu’à l’arrivée des secours.
  98. Comment est diffusée l’alerte émise par le Signal d’Alerte et d’Information aux Populations (SAIP) ?
    Grâce aux sirènes, aux médias tels que Radio France et France Télévision ou encore grâce à l’application SAIP.
  99. Qu’est-ce qu’un arrêt cardiaque ?
    Le cœur ne fonctionne plus ou fonctionne d’une façon anarchique.
  100. Qu’est-ce qu’un défibrillateur automatisé externe (DAE) ?
    C’est un appareil qui peut permettre de rétablir une activité cardiaque normale à une victime en arrêt cardiaque.